SEANCE D'HYPNOSE

Une séance d'hypnose commence par une rencontre entre un thérapeute, et une personne avec toutes ses craintes et tous ses espoirs. Une relation , ou plutot une co-relation de deux humains sur le chemin du changement, de la transe-formation qui permettra au patient de se libérer de son probléme.


Cette relation se formalise par l'écoute et l'emphatie, la comprehension, ce que l'on appelle l'anamnèse, qui nous aide à definir l'objectif, les éléments qui pourraient avoir une influence sur le problème, et le cadre de l'intervention .

Le coeur de seance, peut etre formelle ou plus conversationnelle, le thérapeute vous fera une séance d'hypnose pure, et y intégrera des protocoles PNL s'il le juge utile.

Cette phase dure plus ou moins longtemps, elle va dépendre du patient de sa capacité réceptive, de la raison de sa demande mais également du thérapeute, de la maniere dont il va induire la trance et du protocole thérapeutique qu'il mettra en oeuvre.

Retour à la réalité  puis petit débrief en fin de séance, et l'orloge à fait environs un tour de grande aiguille, une prise de rendez vous pour la séance suivante (environs une quinzaine de jours aprés)

La plupart des cas necessitent moins de 5 sénces et souvent le probléme est réglé en une ou deux séances

Pas de grigri,pas de bougies, pas d'appareils, pas de divan de psy, juste un fauteuil pour vous accueillir, et vous permettre d'ètre le plus confortable possible en toute simplicité.

  


PHYSIOLOGIE
TRAUMAS PHYSIQUES
ACCOUPHENES
DOULEURS CHRONIQUES
PROBLEMES DE PEAU (vérrues; eczéma; psoriasis; ; ...)
BEGAIEMENT
ASTHME
ALLERGIES
ACCOMPAGNEMENT DE LA FEMME ENCEINTE


Troubles du comportement
TABAGISME
COMPULSIONS ALIMENTAIRES
ALCOOLISME
AMELIORATION DU SOMMEIL
PHOBIES(Agoraphobie, claustrophobie, phobie des transports, zoophobie…)
DISFONCTIONNEMENTS SEXUELS (Impuissance; frigidité; problèmes prémenstruels; éjacualtion précoce)
GESTION DU STRESS

INDICATIONS THERAPEUTIQUES


Arrêter de fumer, gérer son stress, surmonter un manque d’estime de soi… Les applications thérapeutiques de l’hypnose sont nombreuses. Et les expériences scientifiques récentes ne permettent plus de les mettre en doute. Et quoi que l'hypnose ne soit pas la Panacée, il serait difficile d'énumérer toutes les applications pour lesquels elle semble utile, soit directement, soit en complément d'autres soins.




Vous trouverez ci-dessous une liste non exhaustive des sujets ou l'hypnose peut apporter une réponse.

Troubles émotionnels
SOUVENIRS TRAUMATISANTS (attentat; viol; guerre; accident;…)
TRAC / PRISE DE PAROLE EN PUBLIC / TIMIDITE
CONFIANCE EN SOI / ESTIME DE SOI
GESTION DES EMOTIONS (colère;
PROBLEMES RELATIONNELS / COMMUNICATION
GESTION DU STRESS
ANGOISSES
DEPRIME
DEUIL (travail; proches; animaux;...)

Développement personnel

CONCENTRATION
MEMOIRE
CREATIVITE
INTUITION
APPRENDRE A SE VENDRE
PERFORMANCES INTELLECTUELLES
PERFORMANCES SPORTIVES
PREPARATION AUX EXAMENS / CONCOURS
PREFORMANCES ARTISTIQUES


Les ressources de l’inconscient

Pour réparer certains dégâts commis il y a longtemps et aux conséquences bien ancrées dans nos comportements, il faut aller puiser dans les ressources de l’inconscient. C’est ce que permet l’hypnose.
"L’inventeur" de l’hypnose moderne, Milton H. Erickson en explique le mécanisme en s’appuyant sur la distinction entre les deux parties du cerveau, les hémisphères droit et gauche. Le cerveau droit, nous apprend-il, est le siège de l’inconscient. Erickson considère l’inconscient comme “un magasin de solutions et de ressources” dans lequel l’individu puise pour résoudre ses problèmes. À l’opposé de ce cerveau émotionnel, le cerveau gauche est rationnel et analytique.


En bon cartésien habitué à faire fonctionner votre cerveau gauche, sans doute penserez-vous que tout cela n’est pas très… sérieux. Détrompez-vous. Avec l’apparition de la tomographie par émission de positons (TEP), une technique d’imagerie médicale nucléaire en trois dimensions, l’hypnose a acquis une crédibilité scientifique depuis une dizaine d’années.

La première expérience significative, on la doit à Pierre Rainville, du département de stomatologie de la faculté de médecine dentaire de Montréal. Ce chercheur canadien a montré que l’état hypnotique s’accompagnait d’une modification de l’activité neuronale, variable selon la sensation de détente de l’hypnotisé. Il a en particulier observé une baisse de l’activité dans les lobes pariétaux (impliqués dans des fonctions sensorielles telles que le toucher ou la douleur) et une augmentation de l’activité dans le cortex visuel, ce qui est propice aux images mentales. Or la production d’images mentales favorise la connexion au cerveau droit, siège de l’inconscient. C’est la preuve scientifique que l’hypnose permet d’établir un pont entre cerveau droit et gauche, entre inconscient et conscient.

L’hypnose suscite à la fois fascination et appréhension. Le frein le plus puissant ? La peur de ne pas se réveiller. Si l’étymologie du mot hypnose vient bien du grec hypnos (le sommeil), l’état qu’elle induit est très particulier. Pour le prouver, on a mesuré la longueur des ondes qui parcourent le cerveau. Quand on est sous hypnose, ou dans un état de rêverie éveillée, ce sont des ondes dites alpha, entre 8 et 13 hertz, que nous produisons. Alors que pendant le sommeil, on enregistre des ondes delta, mesurées entre 0,5 et 3 hertz. Moralité : il n’y a pas de danger de ne pas se réveiller… puisque l’on ne dort pas. Le seul véritable risque, c’est que cela ne marche pas sur vous. Selon une échelle de “suggestibilité hypnotique” établie par l’université de Stanford, 5 % de la population seraient résistantes à l’hypnose et 10 % y seraient très réceptifs, parvenant à entrer rapidement en état d’hypnose profonde.

Lien : http://www.courriercadres.com/content/pourquoi-l%E2%80%99hypnose-est-efficace-0